La loi punirait des Cambodgiens pour des relations supplémentaire-matrimoniales ou l'inceste avec entre un mois et une année en prison, plus une amende de jusqu'à 250 dollars.
Épouser formellement un deuxième conjoint serait punissable près entre six mois et un an en prison, plus la même amende.
Le sénat doit encore approuver la loi, qui va alors au Roi Norodom Sihamoni pour la signature, mais tous les deux sont considérés des formalités.
La loi a été approuvée par 64 de MPs du Cambodge 123, avec des parties d'opposition boycottant le vote sur une loi qu'ils considèrent draconiens.
« Cette loi sera bonne seulement sur le papier, mais elle ne sera pas correctement imposée, » les journalistes dits par Rainsy de SAM du Chef de partie d'opposition.
« Le vrai but est qu'ils emploieront cette loi comme un outil contre des personnes qu'ils veulent maltraiter politiquement. »
Le législateur royaliste Monh Saphan a averti la loi « interférerait dans les vies privées des individus, » et a dit que la nation mieux serait servie par des lois d'anti-corruption de durçissement.
Mais le Président Heng Samrin d'assemblée nationale a déclaré que la loi aiderait à renforcer les morales du royaume.
« Cette loi peut également aider à réduire la corruption, parce que si un fonctionnaire de gouvernement a beaucoup d'épouses ou maîtresses, il deviendra avide pour l'argent de l'état, » il a dit.
L'opposition a dénoncé la loi comme throwback au régime génocide de fard à joues de Khmer qui a régné le pays de 1975-1979, quand des affaires supplémentaire-matrimoniales ont été punies par exécution.
La sonde d'hun de premier ministre a proposé la loi il y a cinq mois, après qu'il ait publiquement maugréé au sujet des fonctionnaires de gouvernement apportant leurs maîtresses au lieu de leurs épouses aux fonctions officielles.
Bien que la poligamie soit une pratique courante dans les familles traditionnelles de Khmer, la loi affecterait notamment le chef de la partie royaliste de FUNCINPEC, prince Norodom Ranariddh, qui est souvent vu l'en public avec sa maîtresse.
Prince Ranariddh était le président du parlement jusque tôt à cette année, quand il a changé les conditions pour une majorité parlementaire et a remis la commande de la législature plus d'à la partie de la sonde d'hun.
© de copyright Agence 2006 France Presse.